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21 avril 2008 1 21 /04 /avril /2008 23:14
nouvelle proposition de jeu de AZACAMOPOL pour LA PETITE FABRIQUE D'ECRITURE:
Parler d'un vêtement que l'on a porté dans le temps, qui nous a marqué d'une façon ou d'une autre.



La jupe plissée bleue marine.

Je me souviens de cette époque, de ma tendre enfance jusqu'à l'adolescence, où je fus affublée d'une méchante jupe plissée bleue marine, descendant sous les genoux, accompagnée d'un chemisier blanc, et, durant l'hiver, d'un pull à col en "V", bleu marine lui aussi...
Ce n'était pas une excentricité de ma mère, rassurez-vous, mais bel et bien l'uniforme de l'école catholique où j'ai fait toutes mes études...
J'avoue que ça ne m'était pas trop pesant, puisque mes soeurs étaient affublées du même accoutrement, et que toutes les filles de l'école privée étaient, elles aussi, habillées de la même façon. Cela me paraissait donc normal, je suppose...
Il faut dire que nous n'étions pas peu fières de déambuler dans les rues, en rang serré, deux par deux... Cela faisait un bel ensemble harmonieux, (et silencieux), surtout lorsqu'on croisait les enfants du "C.E.S", qui portaient des vêtements de toutes les couleurs, et qui étaient bien moins disciplinés que nous, et, déjà pour l'époque, beaucoup plus exubérants!
Je me souviens d'une année, je devais être en classe de cinquième, ou de quatrième, où le règlement vestimentaire s'était adouci, enfin si on veut: Les hivers, à cette époque, étaient rudes, et nous avions enfin eu le droit de porter des pantalons. Mais ils devaient, vous vous en doutez, être bleus marines, eux aussi, et le pire, tenez-vous bien, c'est qu'il fallait les porter sous la jupe... Je ne vous dit pas l'allure générale!!
Ce n'est qu'en arrivant en classe de seconde, dans une autre école privée, du même ordre religieux que la première, et où je me suis retrouvée pensionnaire, que nous eûmes le droit de porter des jupes droites, ou "porte-feuille", comme c'était à la mode en ce temps là, ainsi que des pantalons, sans jupe par dessus, mais toujours bleus marines, (c'était déjà pas mal, il ne fallait pas trop en demander d'un coup)... Le chemisier avait lui aussi changé de couleur, de blanc il était passé à bleu ciel, ce qui était plus seyant...
Nous avions fait un grand pas en avant, mais nous restions toutes uniformément semblables...
Je ne peux pas dire que je détestais cette fameuse jupe plissée, (peut-être bien que oui, par moments) mais elle est restée gravée dans ma mémoire pour le reste de mes jours.
 
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20 avril 2008 7 20 /04 /avril /2008 19:34
Nouvelle proposition de jeu n°38 de Kildar pour Ecriture Ludique:
Ecrire une histoire qui commencera obligatoirement par ce paragraphe:
   "la petite vielle ratatinée se sentit toute réjouie en voyant ce joli enfant à qui chacun faisait la fête, à qui tout le monde voulait plaire; ce joli être, si fragile comme elle, la petite vieille, et comme elle aussi, sans dents et sans cheveux."
Et qui se terminera par cette phrase:
   "L'étude du beau est un duel où l'artiste crie de frayeur avant d'être vaincu."



"le baiser de l'aïeule" (1892)_ Marbre de Jean Dampt-Venurey.


La petite vieille ratatinée se sentit toute réjouie en voyant ce joli enfant à qui chacun faisait la fête, à qui tout le monde voulait plaire; ce joli être, si fragile comme elle, la petite vieille, et, comme elle aussi, sans dents et sans cheveux.
Lorsqu' enfin on lui mit l'enfant dans ses bras, son visage s'illumina de joie.
La grand-mère et l'enfant furent immortalisés par un photographe averti, qui sut saisir ce moment exceptionnel.
 La grand-mère, émerveillée par le visage angélique de l'enfant, semblait elle-même posséder un visage d'ange à ce moment précis, et, la beauté de cet instant furtif, était désormais figée sur une image colorée...
Cette superbe photo m'inspira, moi, la modeste artiste peintre, et j'entrepris de reproduire ce que le photographe avait si bien attrapé au vol...
Ce fut après de longues heures laborieuses que mon dessin commença à prendre forme... Je décidais alors de laisser ma famille et mes amis regarder mon travail et dire ce qu'ils en pensaient...
L'un admirait le visage de la grand-mère, d'où semblait s'émaner une lumière céleste. Un autre trouvait qu'elle ne paraissait pas aussi vieille que sur le modèle, que mon dessin n'était pas assez fidèle. Un troisième préférait le visage du nourrisson, qui semblait être illuminé par un astre invisible. Un quatrième trouvait, au contraire, que ce nouveau né ressemblait à un petit vieux tout ridé, et que je n'avais pas su reproduire sa fraicheur... Trop vieux, trop jeune, trop ridée, trop belle... Bref, je ne savais plus quoi penser...
Je décidais de reprendre mon crayon, pour perfectionner mon pauvre dessin, tout en me disant:
"L'étude du beau est un duel où l'artiste crie de frayeur, avant d'être vaincu."
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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 13:20
voici la suite de ma série de tableaux sur la femme...



visage d'une héroïne de jeu vidéo, Linoa Heartilly, et son fiancé.
 Une commande spéciale de mon fils qui adore ce jeu vidéo.
taille: 56x37.
peinture à l'huile, comme les 4 premiers.











le visage anonyme d'une mannequin pour une publicité sur un shampoing.
taille:33,5x24.
peinture à l'huile sur carton entoilé.



















visage d'Angelina Jolie.
taille:41x33.
peinture à l'huile.




























                                                                                                                                 







Les jambes de Laetitia Casta.
taille:41x33.
peinture à l'huile.
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18 avril 2008 5 18 /04 /avril /2008 11:49
Nouvelle proposition de Kildar pour Écriture Ludique. Jeu n°36: Écrire un poème ou une nouvelle, en se servant obligatoirement des 15 mots suivants:
-mouvance-errance-violence-souffrance-enfance-
-instinctivement-égoïstement-décemment-empiriquement-innocemment-
-boire-rire-danser-recevoir-décevoir-.


Innocemment, durant mon enfance, je croyais que l'homme était bon, et que la terre toute entière était un jardin d'Eden.
Car, du haut de mon insouciance, avec la pureté de mon âme d'enfant, je ne voyais que le bon côté des choses... La nature était belle, les gens buvaient à la santé de leurs amis, ils organisaient des fêtes durant lesquelles je les voyais rire et danser, ils semblaient si joyeux...
Mais, j'ignorais alors, qu'il y avait tant de violence de part le monde, j'ignorais qu'il y avait tant de souffrance autour de moi...
Instinctivement, je m'étais réfugiée dans le cocon familial.
Egoïstement, mes parents avaient placé autour de moi, une barrière invisible, qui me protégeait décemment de l'errance de ces pays en guerre... Voulant, sans doute empiriquement, m'épargner l'horrible vision d'un monde en ébullition, où la mouvance d'une minorité, vis à vis d'une grande puissance, obligeait la première à se conformer aux lois de la deuxième, sous peine de représailles...
Mes parents, peur de décevoir mon coeur innocent, m'ont caché, c'est vrai, la triste réalité de la vie des adultes...
Mais il faut bien l'avouer, du haut de mon insouciance, je n'étais pas prête à recevoir, dans ma tête d'enfant, dans mes yeux au regard tendre, ce cadeau empoisonné d'un monde meurtri par les guerres, les violences gratuites, les famines, les maladies incurables et les calamités de toutes sortes...
Et même si mes parents adorés m'ont toujours surprotégée, je ne peux que les remercier du plus profond de mon coeur.


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17 avril 2008 4 17 /04 /avril /2008 13:34
J'ai adhéré récemment à une nouvelle communauté, "PHOTOS DES OEUVRES D'ARTISTES", qui va me permettre de dévoiler mes dessins et tableaux, à un plus grand nombre de blogueurs... Mais comme je trouve bizarre de les exposer sans plus de commentaires, j'ai décidé d'écrire un petit poème pour les agrémenter...

                                                                                                                                                       














Les dessous affriolants de ces dames
font rêver les joyeux messieurs coquins.
Ils enchantent les yeux des libertins.
Ils égayent la peau des jolies dames.




















































Ces doux dessous se parent de couleurs,
et se laissent caresser sans pudeur.
Ils excitent les grandes mains avides
de ces hommes empressés et fougueux.






















Ces charmants dessous, ornés de dentelles,
font deviner à leurs regards gourmands,
des trésors charnels, et  si mystérieux,
que la frénésie du jeu  les surprend.



























Quand les amoureux jettent la dentelle,
il ne reste plus que deux corps humides,
qui font l'amour, et oublient la raison,
qui calment leurs ardeurs, avec passion.























Je ne pensais pas que les photos prendraient tant de place... Je m'excuse pour la mauvaise qualité des photos. (un peu floues par endroits).





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16 avril 2008 3 16 /04 /avril /2008 16:57
Nouvelle proposition N°35 de Michel pour Écriture Ludique: Se laisser inspirer par cette image...


A L'AIDE!

A l'aide! Est-ce que quelqu'un m'entend?
Je ne sais pas ce qui m'arrive...
J'étais tranquillement entrain de me promener sur cette plage rocailleuse...
Quand tout à coup je ressentis un malaise...
Je me suis sentie oppressée,
comme plaquée contre ce rocher,
 incapable de bouger...

Au secours! Va-t-on enfin m'aider?
Je suis coincée là depuis plusieurs heures, et rien n'y fait...
J'ai beau me débattre, j'ai beau m'époumoner...
Personne ne me voit, personne ne m'entend...
Que vais-je devenir?

Pour l'amour de moi, allez-vous enfin me délivrer?
Le soleil de midi, qui m'avait plaquée là, avec sa chaleur implacable,
se fait de plus en plus doux, avec le temps qui passe...
Mais ça ne change rien,
je me sens de plus en plus faible,
ma peur s'efface peu à peu,
et laisse place à une grande lassitude...
Je me sens si faible...
Je n'arrive plus à bouger les bras...
Bientôt, je n'arriverai plus à respirer...

Personne ne viendra m'aider...
Je me suis résignée...
Je me sens devenir transparente...
Et quand le soir arrive, je n'existe plus, je ne suis plus rien...
Le soleil a disparu de l'horizon,
et moi, je ne suis plus que l'ombre de moi-même,
incapable de réagir...

C'est fini, je n'ai plus la force de lutter,
et personne n'est venu à mon secours.
Je suis morte avec le soleil,
et personne n'est venu à mon chevet...
Que suis-je devenue?
Moins que mon ombre,
transparente à leurs yeux...
Invisible à tout jamais...
Je n'existe plus...
Ai-je vraiment existé?


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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 18:29
        Voici une nouvelle proposition de Juliette pour Papier Libre:  Se laisser inspirer par le TANGO, et écrire un texte en vers ou en prose.
J'ai choisi d'écrire un ACROSTICHE, pas très réussi, je l'avoue, puisque je n'ai pas fait des vers....
                                                                                                                                                                                       
                                                                                                                                                                            TANGO ARGENTIN.


Tanguent ces corps, animés de passion.
Avec ardeur, ils s'accrochent l'un à l'autre.
Nulle faiblesse quand ils se lancent,
Galbés, un défi orgueilleux et vain,
Oubliant même les autres, alentour.

Acceptant l'ivresse des têtes qui tournent,
Rien n'arrête ces couples enlacés.
Graves et sérieux, les visages figés,
En jouant à se perdre et à se retrouver,
N'espérant pas de trêve de leur partenaire,
Tentent avec acharnement de séduire,
Inventent sans cesse de nouvelles arabesques,
Ne se lassent jamais d'enlacer leur moitié.

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15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 16:43
                                                                                                      
Avec le temps qu'il a fait, nous aurions pu visiter des musées, des églises, allez-vous me dire... Je sais bien, ça m'aurait bien plu, mais c'était sans compter sur Bernard... En effet, il ne comprend pas pourquoi il faudrait payer pour regarder des vieux objets, des tableaux ou des animaux empaillés... Et puis, les églises, c'est pas son truc... Lui, ce qu'il voulait, c'est prendre l'air... Et là, c'était compromis... Nous n'allions pas non plus rester cloîtrés dans neuf mètres carrés toute la journée... Alors, quand il a décrété qu'on repartirait un jour plus tôt, je n'ai pas chercher à comprendre, ni à discuter. Ça aurait été de toute façon peine perdue...                                                          

                                                                                                      
Je ne voulais pas non plus entacher sa bonne
humeur... C'était déjà pas mal qu'on soit arrivés
jusque là... Mais il avait l'impression de perdre son temps... Il faut vous dire que c'est un homme très actif. Sa devise c'est: "boulot, boulot et boulot". Il n'a jamais le temps... Je lui dis souvent qu'il prendra bien le temps de mourir... Bref, quand on regardait la météo à la télé, on voyait qu'il faisait meilleur dans le Pas de Calais qu'en Alsace.... Et ça le rongeait d'être là à ne rien faire...


         
         
           


Je  me suis donc résignée, il faut dire que j'ai l'habitude, après vingt-huit ans de mariage... Plus rien ne m'étonne venant de lui... Bref, vendredi matin, nous avons pris nos clics et nos claques, et nous avons fait le chemin à l'envers, toujours accompagnés par la pluie... Et je me mis à photographier, une dernière fois, les maisons au bord de la route, qui nous offraient une gamme diversifiée de couleurs, digne d'un arc-en-ciel: bleu ciel, bleu turquoise, vert clair, vert émeraude, jaune pâle jaune d'or, rose et même mauve... Et malgré la grisaille du temps, la route fut égayée par ces multiples taches de couleur.


                                                                                         

Ce n'est qu'arrivés dans le Nord-Pas de Calais,que nous pûmes enfin apprécier le bleu du ciel... Bien sûr, il y avait des nuages, mais il y avait aussi le soleil, et cela conforta Bernard dans la décision qu'il avait prise de rentrer un jour plus tôt...

AU FAIT, QUI A DIT QUE CHEZ LES CH'TI-MIS, IL PLEUVAIT TOUJOURS?...

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14 avril 2008 1 14 /04 /avril /2008 15:56


Le lendemain de notre arrivée, au lieu de nous lamenter sur notre sort, nous avons pris notre courage à deux mains, moi mon parka à capuche, Bernard un parapluie, et nous sommes allés visiter une jolie petite ville typique de l'Alsace: "Kaysersberg"... Certains diraient: "Un véritable piège à touristes"... Mais nous avons pris plaisir à nous promener dans cette petite ville charmante, aux rues pavées, aux maisons colorées, et dont les habitants sont très accueillants. Cette première photo fut prise dans la voiture, vous pouvez constater la présence de la pluie...

Admirez ces maisons à plusieurs étages, hautes en couleurs, à l'architecture incroyable... Les murs des magasins sont très décorés, les pavés des rues sont rouges, et le ciel est tellement chargé de nuages, qu'il parait blanc sur les photos...








         
                 Voici quelques spécialités gourmandes et sucrées de l'Alsace: "le kouglof" ou "kugelhof", à gauche, qui est une brioche aux raisins secs, et le pain d'épice, à droite, dont les formes sont variées, qui sont des pâtisseries à base de miel et d'épices. Très appétissant tout ça, et aussi très joli à regarder... 

Après avoir arpenté de long en large cette magnifique ville, malgré la pluie qui nous a trempés jusqu'aux os, après avoir léché les vitrines les unes après les autres, après avoir constaté que deux magasins sur trois étaient des magasins de vin, (Alsace oblige...), nous avons décidé de nous restaurer et de nous réchauffer dans un tout petit restaurant, qui ne possédait que quatre ou cinq petites tables. Vu le mauvais temps persistant, nous étions les seuls clients, et nous nous sommes régalés tous les deux d'une excellente choucroute garnie. C'est normal, quant à découvrir une région, autant goûter à ses spécialités. Et nous ne l'avons pas regretté, cette choucroute fût un régal, et était vraiment très garnie. En attendant d'être servis, nous avons fait causette avec la patronne, et nous avons surtout parlé du temps... (Forcément).  A la fin du repas, alors qu'elle débarrassait notre table, cette dernière fit tomber un couteau, et moi de lui dire, en souriant: "ha, vous allez avoir de la visite!"... Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'elle ne connaissait pas cette expression? Et quelle ne fut pas sa surprise de constater , dix minutes plus tard, la visite d'un ami qu'elle n'attendait pas... Elle se mit à rire, et moi je ne pensais pas que cette petite superstition n'était connue que chez moi...
Alors, mes amis blogueurs, si vous lisez cette petite visite guidée, laissez-moi un commentaire pour me dire de quelle région vous êtes, et si vous connaissez cette superstition: "Faire tomber un couteau, amène une visite dans la journée." Il y a même une suite qui dit: "si vous ne voulez pas avoir de visite dans la journée, pour une raison ou pour une autre, alors, marchez sur la queue du couteau avant de le ramasser, ça rompra le sort." 















Nous avons constaté une jolie coutume à "Kayserberg". Apparemment, les gens décorent les fenêtres du premier étage de leur maison, à l'occasion de Pâques... Fleurs et lapins ornent joliment les facades colorées et leur donnent un air de fête...
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14 avril 2008 1 14 /04 /avril /2008 14:25
La malchance s'est acharnée avec ce mauvais temps... La pluie n'a pas cessé de tomber, et de plus en plus fort... Ce qui fait que lorsqu'on a enfin atteint les Vosges, on a eu l'impression que toute la forêt, sur le flanc de la montagne, était en feu! Non pas que l'on voyait des flammes, mais les brumes qui s'en échappaient, ressemblaient étrangement à la fumée d'un immense incendie... Nous avons été très impressionnés par cette vision inquiétante... Oui, je sais, nous vous paraissons un peu ridicules, mais pour des ch'tis qui n'étaient jamais sortis de leur trou, (ou presque), c'était plutôt spectaculaire... 

Cette maudite pluie nous a empêchés de faire les longues promenades qu'on s'était promis de faire en amoureux, le long des sentiers balisés, parmi les sapins et les rochers. Nous comptions découvrir des cascades, des encaissements de vallées, des vues imprenables de panoramas spectaculaires... Malheureusement, les panoramas se sont perdus dans l'épaisse brume qui n'a pas cessé d'épaissir d'heure en heure... Pas un seul rayon de soleil n'est venu égayer notre séjour...


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  • je suis mariée, j'ai deux grands garçons. Je suis agent d'entretien dans le collège de mon village. Je m'amuse en écrivant des poèmes. J'aime chanter en m'accompagnant  à  la guitare. Je fais partie d'un club de peinture depuis octobre 2006. Je suis veuve depuis peu...
  • je suis mariée, j'ai deux grands garçons. Je suis agent d'entretien dans le collège de mon village. Je m'amuse en écrivant des poèmes. J'aime chanter en m'accompagnant à la guitare. Je fais partie d'un club de peinture depuis octobre 2006. Je suis veuve depuis peu...