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12 juillet 2008 6 12 /07 /juillet /2008 17:27
Je viens d'être accueillie par la communauté "L'aquarelle", qui a été créée par Guy Leroy.
Je débute, et mes dessins ne sont pas encore très démonstratifs pour cet art qu'est l'aquarelle...
je me sers un peu de la peinture, comme si c'était de la gouache... Mais je vais m'entraîner, et j'espère, grâce aux conseils de Guy, progresser peu à peu. En attendant, je vous montrerai dans les jours à venir les quelques dessins que j'ai balbutiés, (si j'ose m'exprimer ainsi).
Et si vous aimez cette façon de s'exprimer, vous n'aurez qu'à cliquer sur le lien "L'aquarelle", qui se trouve à droite de mes articles, et vous pourrez visiter d'autres très jolis blogs.




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11 juillet 2008 5 11 /07 /juillet /2008 15:46
Voici la nouvelle proposition de jeu n°43, de KILDAR, soutenu par DAME AGA, pour ECRITURE LUDIQUE.
Voici 36 titres de chansons,  de Hubert-Félix Thiéfaine.
Laissez aller votre imagination, en vers ou en prose, à l'aide d'au moins 20 de ses titres, et même des 36 si vous y arrivez.
Les titres de chansons sont les suivants :

- je t'en remets au vent 
- l'ascenseur de 22h 43
- la cancoillotte 
- la fille du coupeur de joints 
- la fin du saint Empire Romain Germanique 
- la maison Borniol
- le chant du fou 
- première descente aux enfers par la face Nord

- La vierge au Dodge 51 
- La mome kaléidoscope 
- Enfermé dans les cabinets (avec la fille mineure des 80 chasseurs)
- Dernière station avant l'autoroute 
- Rock autopsie 
- Autorisation de délirer
- Alligators 427

- 113ème cigarette sans dormir
- Narcisse 81 
- mathématiques souterraines 
- taxiphonant d'un pack de kro
- cabaret ste-lilith 
- une fille au rhésus négatif 
- exil sur une planète fantôme

- Lorelei Sebasto Cha 
- Autoroutes jeudis d'automne 
- Ad orgasmum aeternum
- Les dingues et les paumés 
- Exit to chatagoune-goune
 
- Je ne sais plus quoi faire pour te décevoir 
- Amant destroy 
- Pulque, mescal y tequila 
- Droide song

- Demain les kids 
- Pogo sur la deadline 
- Un automne a Tanger
- 542 lunes et 7 jours environ
- Zoo Zumains Zébus




L'autre jour, alors que je me préparais une tartine avec de  la cancoillotte, je me perdais dans mes pensées... Je réfléchissais à  la fin du saint Empire Romain Germanique... Je ne sais pas pourquoi... Sans doute un relent nostalgique de mes cours d'histoire, qui m'avaient été enseignés par Lorelei Sebasto Cha, surnommée à l'époque la  môme kaléidoscope,  parce qu'elle portait toujours des habits multicolores et voyants.
Une idée en entraînant une autre, je me souvins alors de mes cours de math., de mon prof. monsieur Narcit, qui, lui aussi, avait un surnom: Narcisse 81, parce qu'il n'arrêtait pas de regarder son reflet dans les vitres, et qu'il venait du Tarn (81)... Ha! Ces maudits cours de math.!... Ce fut ma première descente aux enfers par la face Nord... Toutes ces heures à m'arracher les cheveux, pour essayer de comprendre la logique des calculs qu'on essayait en vain de m'inculquer... Et plus j'essayais, plus je m'enfonçais dans ces labyrinthes tortueux, plus je m'enlisais, à tel point que je les avais appelées les mathématiques souterraines.
C'étaient de ces problèmes bien tordus du genre:
"_ sachant que l'ascenseur de 22h43 descend de 10 mètres par minute,
_sachant qu'il s'arrête une première fois chez Pogo sur la deadline,   
_une seconde fois à la maison Borniol,                                                   
_puis une troisième fois au cabaret ste-lilith,                                          
_sachant qu'à chaque arrêt il se passe 2 minutes,                                  
_sachant qu'au départ il y avait 2 personnes dans l'ascenseur,            
_qu'à l'arrivée il y en a 11,                                                                           
_sachant que l'ascenseur arrive au rez-de-chaussée à 22h58,             
1°-calculez le temps qu'il lui a fallu pour arriver en bas,                                  
2°-calculez la moyenne du nombre de personnes montées à chaque arrêt,
3°-calculez la hauteur de l'immeuble."                                                              
Vous voyez, c'était une histoire de fou! Un peu comme ces problèmes de robinets. En tous cas, moi je devenais fou... Et je me surpris même à pousser le chant du fou! Je n'en pouvais plus de ces cours de torture mentale, et je me mis à boire plus que de raison des cocktails corsés à base de tequila, appelés pulque mescal y tequila. C'est alors que je me mis à délirer...
Je réussis à fumer sans m'arrêter pendant 542 lunes et 7 jours environ, même qu'à la 113ème cigarette sans dormir,  j'ai commencé à voir des éléphants roses, et des alligators 427,  oui exactement 427 alligators, avec leurs gueules ouvertes, avec leurs milliers de dents, qui cherchaient à me dévorer... C'était horrible!!  Alors je me suis enfermé dans les cabinets (avec la fille mineure des 80 chasseurs), ou était-ce avec la fille du coupeur de joints? Mes idées étaient confuses à cette époque là...
C'est pourquoi on m'envoya me reposer dans une maison spécialisée, tout un automne à Tanger. Et parmi les dingues et les paumés, comme en exil sur une planète fantôme, je me mis à composer, pour passer le temps, des chansons plutôt délirantes, dont voici quelques titres: "Rock autopsie", "droide song", "taxiphonant d'un pack de Kro", "autoroutes, jeudis d'automne", "ad orgasmum aeternum", et "exit to chatagoune-goune".
Là-bas, je fis la connaissance d'une fille au rhésus négatif. On se donnait toujours rendez-vous au pied de la statue de la vierge au dodge 51, à la dernière station avant l'autoroute. Et quand j'allais la rejoindre, je criais à mes amis d'infortune: "à demain les kids".
Grâce à elle, je retrouvais peu à peu mes esprits, mais elle me donnait de temps en temps l'autorisation de délirer... Un jour, je l'ai emmenée dans le parc naturel du "Zoo Zumains Zébus", et là, je lui fis  une déclaration qui en disait long sur mes intentions... Je voulais qu'elle me quitte, car je n'étais pas quelqu'un de très fréquentable, je lui dis que je serais pour elle un amant destroy , qu'il fallait qu'elle me fuit... Mais comme je n'arrivais pas à la convaincre, je lui avouai mot pour mot: "Je ne sais plus quoi faire pour te décevoir". Mais rien n'y fit, elle me dit qu'elle m'aimait, que c'était pour la vie, que rien ni personne ne pourrait l'empêcher de m'aimer... Alors à bout d'argument, et tellement épris d'elle, je composai une dernière chanson, rien que pour elle, dont le titre est "Je t'en remets au vent".
Et voilà, alors que j'étalais la cancoillotte sur ma tartine, mon esprit qui divaguait, m'amena tout naturellement à vous parler de mon aventure avec mes cours de math., ainsi que de la chance incroyable, qui me fit rencontrer la femme de ma vie. Et pour tout vous dire, cette tartine de fromage, je m'en vais la partager avec elle, cette fille au rhésus négatif.

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9 juillet 2008 3 09 /07 /juillet /2008 16:01

Au secours, j'ai perdu ma bannière!
comment est-ce possible?
Au voleur, que personne ne sorte!
Ma bannière a disparu!
C'est à ne rien y comprendre!
Je ne sais pas pourquoi elle n'est plus là?!
J'ai bien essayé de la remettre en place...
Mais il n'y a rien eu à faire!
Tout ce que j'ai pu faire, n'est qu'une pâle imitation...
Oh rage! Oh désespoir!
Je n'ai plu qu'à attendre les secours.
Oui, je vais devoir attendre jusqu'à samedi,
que mon garçon rentre à la maison,
en espérant qu'il parvienne à la replacer comme avant...
J'en profiterai pour enlever cette faute d'accent qui s'y était glissée insidieusement...
Et si jamais il ne réussit pas à me la remettre comme avant,
ça sera peut-être l'occasion d'en refaire une autre...
Oui, pourquoi pas, après tout...
Cela mérite réflexion...
En attendant, je me sens comme toute nue...
Si si, je vous assure, il me manque quelque chose d'essentiel...
Ça va être long jusqu'à samedi...
Sniff...
Pour me faire patienter sans trop de chagrin,
pour me faire prendre mon mal en patience,
j'attends avec beaucoup d'espoir les mots de réconfort,
que vous tous, mes amis des blogs,
saurez me prodiguer avec cette gentillesse,
 qui vous est coutumière...
Soyez nombreux, à me témoigner,
en ce jour de deuil,
toute votre géniale sympathie!

Merci d'avance.

BABETH la cauchemardeuse.

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6 juillet 2008 7 06 /07 /juillet /2008 23:07
voici un nouveau jeu d'écriture, proposé par Juliette pour PAPIER LIBRE.
Il s'agit de laisser parler son imagination, à partir de cette citation de VICTOR HUGO:
"Demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne".


VICTOR HUGO

Demain dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
je partirai contraint, oubliant le champagne
qui coulait à flot hier, pour fêter l'été.
Je partirai avec regrets, laissant mon chai,
ne craignant ni le froid, ni la faim, ni l'oubli.
Je partirai simplement, enlaçant ma mie,
pour un dernier baiser, sans espoir de retour.
Demain dès l'aube, j'abandonnerai mon amour.
Car, trahi par celui que j'appelais mon frère,
vendu pour un louis d'or aux autorités,
accusé de détournement et d'adultère,
condamné sans preuve de ces horribles méfaits,
je dois m'enfuir sans attendre d'eux un sursis.
Craignant pour ma liberté, et même ma vie,
et la peur au ventre, mais sûr de mon bon droit,
demain dès l'aube, avant l'arrivée des soldats,
j'irai me cacher au fond des marais hostiles.
J'irai par monts et par vaux, marchant loin des villes,
dans les bois, dans les plaines, vivant au jour le jour,
oubliant le confort de ma douce demeure.
J'apprendrai la vie loin de l'élue de mon coeur,
comptant sur mes amis espérant mon retour,
sachant qu'un beau matin, prouvant mon innocence,
ils me feront un signe, quémandant ma présence.
Pour fêter mon retour, ils ouvriront la danse.
Ensembles, nous chanterons le retour de ma chance.
Un jour dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
je reviendrai sans crainte, en oubliant le bagne.
Avec ma bien-aimée, je boirai le champagne
qui coulera à flot, pour fêter ma compagne.


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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 00:43

voici l'évolution d'un tableau, où ce qui me parut le plus difficile à faire, ce fut de trouver la bonne couleur pour le fond.... Jugez par vous-mêmes....

J'ai fait le plus important: Les tulipes.










Quelques freesias, du feuillage, quelques reflets sur le vase...









Et voilà, comme la couleur du fond ne me plaisait pas, après plusieurs mois, je me suis décidée de la refaire, plus dans le ton des tulipes... A savoir si j'ai eu raison?...







Voilà le résultat final...
Taille réelle du tableau: 40cmx33cm.
Peinture à l'huile.

je me suis dit que vous pourriez voir la photo qui m'a inspirée...
Alors, la voici... (trouvée sur internet)...

j'espère malgré tout ne pas vous décevoir, vu ce que j'en ai fait...





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1 juillet 2008 2 01 /07 /juillet /2008 00:10

Lorsque tu m'as offert ce petit médaillon,
c'était pour me promettre notre réunion.
Nous entamions la vie pleins d'espoir et de rires,
et, nous réunir, pour le meilleur et le pire,
nous paraissait une évidence, une promesse,
ce que nous fîmes un an plus tard, avec sagesse.

C'est pourquoi, quand tu m'offris ce beau médaillon,
ce fut avec passion et beaucoup d'émotion.
Tu ne le choisis pas au hasard, sans savoir,
tu le voulus discret, mais élégant à voir.
Et puis surtout, unique dans sa conception.

Lorsque je reçus ce mystérieux médaillon,
tremblante d'excitation, je m'attendais c'est vrai
à ce coeur éternel, offert pour exhiber
l'amour sincère d'un garçon pour sa fiancée.
Mais pour toi, c'était trop commun en vérité,
et trop exubérant. Tu voulais simplement
montrer à moi seule, la force de tes sentiments.

Et ce joli pendentif, serti d'un rubis,
ciselé comme de la dentelle d'or, m'éblouit.
Aucune inscription, comme ce banal refrain:
"Je t'aime plus qu'hier et bien moins que demain".
Mais je sais que ce présent sincère et discret
est le symbole parfait de ton amour entier.

Et quand, distraite, je vaque à mes occupations,
que parfois il m'arrive d'accomplir sans passion,
quand mon esprit se perd dans des pensées amères,
éloignant la corvée en fredonnant un air,
si je sens le médaillon glisser sur mon cou,
et de son poids, alourdir ma chaîne d'un seul coup,
je me mets à penser à toi, à ton amour,
et mon ennui semble moins pesant, comme toujours.

Cet or, symbole de notre amour qui commençait,
 ce rubis, preuve d'une passion inégalée,
ce beau médaillon que je ne quitte jamais,
sont les témoins subtils de notre sincérité.


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18 juin 2008 3 18 /06 /juin /2008 23:59
Voici la nouvelle proposition de Juliette pour Papier Libre: Se laisser inspirer par ce magnifique paysage de brume.

GERARD BERGER


Plénitude d'un paysage
dans la douceur apaisante
d'un rideau de coton.
Sans raison précise,
il enveloppe nos esprits
d'une confiance sans borne.
Et pourtant, ce brouillard
est souvent la cause
d'innombrables douleurs...
C'est là où tout bascule parfois!
Quand tout est paisible,
si on n'y prend pas gare,
la brume silencieuse
endort notre méfiance,
cette atmosphère ouatée
estompe notre vigilance...
Et le chemin de la vie
devient incertitude,
dans les brumes du destin,
un voyage inquiétant
vers un avenir,
fait de roses et de gris...
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17 juin 2008 2 17 /06 /juin /2008 00:12
Voici une proposition de Nanou, pour son blog "Les Délires de N@n'"....
S'inspirer de cette magnifique photo de Jacqueline Huyghe, qu'elle a intitulée:"Une Vue Imprenable".


Jacqueline Huyghe

Les nuages poussés par le vent
assombrissent le ciel lentement.
La mer, si calme jusqu'à présent,
offre ses vagues au firmament.
La table qui attendait les gens

reste seule désespérément...
L'eau salée apporte sous son banc
des algues d'un vert trop voyant...
Et des morceaux de bois pourrissants,
accentuent la langueur du temps.
La marée haute fait fuir les gens,
qui quittent la plage d'un pas pesant.
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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 00:00
Voici une nouvelle proposition de jeu, de la part de AZACAMOPOL, pour la petite fabrique d'écriture:
Partir de cette idée, pour écrire un texte.





Je me souviendrais de tout.

Si je perdais l'ouïe, je me souviendrais de tout,
du son de ma guitare, qui accompagnait mes rengaines,
de toutes ces mélodies, qui transportaient mon âme au delà des frontières,
du chant mélodieux des oiseaux,
du sifflement du vent, s'engouffrant dans l'entrebâillement de la fenêtre,
du rire des enfants dans la cour de l'école, pendant la récré.

Si je perdais la vue, je me souviendrais de tout,
du bleu clair de tes yeux,
de la franchise de ton regard,
du sourire de mes fils,
de la transparence de l'eau claire du ruisseau,
de la luminosité des champs de blé, avant la moisson,
de toutes les couleurs des fleurs d'été,
de la splendeur d'un ciel étoilé.

Si je devais un jour traverser le désert,
je me souviendrais de tout,
de la source d'eau claire, jaillissant au flanc de la montagne,
de la brise légère, agitant mes cheveux,
de la pluie tombant du ciel, et rafraîchissant plantes et bêtes.

Si aujourd'hui je devais partir, sans espoir de retour,
je me souviendrais de tout,
de mon premier baiser d'adolescente,
volé sous un saule pleureur, près de la rivière.

Si le temps me le permettait, avant de partir,
je me souviendrais de tout,
de cet homme marié,
qui me promit monts et merveilles,
à moi, l'ingénue, qui ignorais la vie.
Je me souviendrais de mon refus de lui céder,
de ma peur de croquer dans le fruit défendu.

Si je devais quitter ce monde sans pitié,
ça ne serait pas sans regrets,
mais je sais que je me souviendrais de tout,
des envies, des regrets, et même des remords,
des mensonges, des oublis, de mes peurs aussi,
des petits plaisirs et des grands bonheurs.

Oui, je me souviendrais de tout,
de la perte d'un parent,
du sourire d'un ami,
de ta demande en mariage,
de la naissances des enfants.
Tout remonterait à la surface.

Je ne voudrais pas perdre la mémoire,
 je veux me souvenir de tout, jusqu'à mon dernier jour,
car mes souvenirs sont en vérité mes seuls trésors.
Sans eux, je perdrais la raison,
ainsi que ma raison d'être.

Vous verrez, je me souviendrai de tout!

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9 juin 2008 1 09 /06 /juin /2008 00:37
Pour Papier Libre, Juliette nous propose de nous exprimer, en vers ou en prose, sur ce tableau de Fantin-Latour.


Un amour aveugle.

Depuis ma cécité,
je m'ennuie à mourir,
et je reste prostrée
dans ce fauteuil usé.
Toi, ma soeur adorée,
tu as la charité
de combler mes désirs,
d'oublier tes projets.

C'est moi qui suis l'aînée,
et pourtant maintenant,
c'est toi qui me protèges
de cet horrible piège,
m'offrant ton amitié
dans ce monde menaçant,
car mes jours sont si sombres,
et mes peurs en grand nombre.

 Chaque jour tu me lis
quelques pages d'un roman.
Alors j'oublie le temps,
le carcan de mes nuits.
Tu me soulages un peu
du manque de mes yeux,
et j'oublie un instant
mon chagrin lancinant.

Toi, ma soeur bien aimée,
sans qui je passerais
mes jours à me morfondre,
et mes nuits à confondre,
pour qui je donnerais
ma vie sans hésiter,
comment te remercier
sans froisser ta fierté?

Quand du bout de mes doigts
je caresse tes joues,
pour exprimer la joie
qui s'échange entre nous,
je retrouve confiance
en ma pauvre existence,
sans admettre pourtant
que tu perdes ton temps.
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Présentation

  • : Le blog de Babeth la rêveuse
  • : proses et poésies, dessins, peintures, photos LAISSEZ-MOI RÊVER! PASSION
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  • je suis mariée, j'ai deux grands garçons. Je suis agent d'entretien dans le collège de mon village. Je m'amuse en écrivant des poèmes. J'aime chanter en m'accompagnant  à  la guitare. Je fais partie d'un club de peinture depuis octobre 2006. Je suis veuve depuis peu...
  • je suis mariée, j'ai deux grands garçons. Je suis agent d'entretien dans le collège de mon village. Je m'amuse en écrivant des poèmes. J'aime chanter en m'accompagnant à la guitare. Je fais partie d'un club de peinture depuis octobre 2006. Je suis veuve depuis peu...