6 juin 2009
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22:47
En ce jour de fête, celle de toutes les mamans, je vous offre ce poème écrit de la main de mon parrain Georges. Ce
poème est dédié à sa maman, ma grand mère maternelle, dont je vous mets le portrait
A ma mère chérie.
Trônant sur mon bureau où brille le cristal
D'un vase de bohème, aux fleurs renouvelées,
Une toile éternise tout mon être vital,
Ton portrait, Ô maman pour moi seul installé.
Tes blancs cheveux bouclés auréolant ton front,
Rehaussent d'un éclat la noblesse de tes traits,
Et tes lèvres marquées par d'amères sillons,
Sourient, dans la souffrance, d'une auguste beauté.
Tes yeux doux et brillants reflètent ta bonté,
La tendresse ingénue d'un coeur sans artifice,
Et dans ton expression, modestie et clarté
Se disputent la place de tous tes sacrifices.
Ô merveilleux tableau, pour moi impérissable,
Douce est la souvenance qui naît à sa lumière,
Aurore de ton amour à jamais ineffable,
Que depuis ton départ pour toujours je vénère.
Où sont nos réunions sous la lampe complice?
Lorsque tes réflexions finement suggérées,
En calmant dans mon coeur des tempêtes, les prémices,
M'apportaient leur douceur et aussi m'éclairaient.
Ton regard me poursuit tout rempli de tendresse,
Ô mère bien aimée, témoin de mon enfance
Combien douce est pour moi cette ultime caresse,
Qui toujours à mes yeux rappelle ta présence;
Qu'importe les méchants, les ingrats et l'orage,
Refuge sans égal, inestimable abri,
Tant que mon coeur battra, et que, suprême gage,
Tu seras près de moi, petite maman chérie.
Georges Penin.
Je vous laisse apprécier en silence ce merveilleux poème...
A ma mère chérie.
Trônant sur mon bureau où brille le cristal
D'un vase de bohème, aux fleurs renouvelées,
Une toile éternise tout mon être vital,
Ton portrait, Ô maman pour moi seul installé.
Tes blancs cheveux bouclés auréolant ton front,
Rehaussent d'un éclat la noblesse de tes traits,
Et tes lèvres marquées par d'amères sillons,
Sourient, dans la souffrance, d'une auguste beauté.
Tes yeux doux et brillants reflètent ta bonté,
La tendresse ingénue d'un coeur sans artifice,
Et dans ton expression, modestie et clarté
Se disputent la place de tous tes sacrifices.
Ô merveilleux tableau, pour moi impérissable,
Douce est la souvenance qui naît à sa lumière,
Aurore de ton amour à jamais ineffable,
Que depuis ton départ pour toujours je vénère.
Où sont nos réunions sous la lampe complice?
Lorsque tes réflexions finement suggérées,
En calmant dans mon coeur des tempêtes, les prémices,
M'apportaient leur douceur et aussi m'éclairaient.
Ton regard me poursuit tout rempli de tendresse,
Ô mère bien aimée, témoin de mon enfance
Combien douce est pour moi cette ultime caresse,
Qui toujours à mes yeux rappelle ta présence;
Qu'importe les méchants, les ingrats et l'orage,
Refuge sans égal, inestimable abri,
Tant que mon coeur battra, et que, suprême gage,
Tu seras près de moi, petite maman chérie.
Georges Penin.
Je vous laisse apprécier en silence ce merveilleux poème...