17 avril 2009
5
17
/04
/avril
/2009
00:10
Voici un poème qui m'a été inspiré par la musique de la chanson de Francis
Cabrel: L'encre de tes yeux.
Vous pouvez donc chanter mon poème en le lisant, et si vous ne vous souvenez plus de la musique, vous pouvez toujours revoir mon article d'hier, et écouter la chanson originale...

L'amour en sursis.
Puisque tu dis que c'est fini nous deux,
Que notre amour s'est essoufflé, avec le temps qui passe,
Que tu ne peux plus supporter ce doute,
Moi je te dis que notre amour
A peut-être perdu de ses atours,
Mais que rien est fini entre nous deux.
Depuis que nous suivons la même route,
Tu dis que les souvenirs meurent, que le temps les efface.
Tu sembles avoir oublié nos serments.
Moi je te répond que le temps
A peut-être émoussé nos jeux,
Mais que nos souvenirs sont très heureux.
Même si tu ressens l'incertitude,
Et que tu penses que notre amour n'est plus qu'une habitude,
Pourquoi douter de ma sincérité?
Je veux quand même te rappeler
Que nous avions fait le serment
De nous aimer jusqu'à la fin des temps.
Maintenant que les enfants sont partis,
Et que j'occupe mes journées pour égayer ma vie,
Tu me reproches mes centres d'intérêts,
J'aimerais quand même te dire
Que tout ce que j'ai pu bâtir,
C'est grâce à toi que j'y suis arrivée.
Pour toi, tout doit être noir ou bien blanc,
Tu ne comprends pas tous les gris que j'ai vus dans le vent.
Mes passions, tu n'veux pas les partager,
Pourtant j'aimerais tant t'offrir
Toutes ces choses qui m'attirent,
Et qui m'aident à continuer.
Tu dis que mon amour n'est plus sincère,
Que mon élan pour toi s'estompe, que ça te rend amer,
Tu me reproches mon manque d'attentions,
Mais il faut bien que tu comprennes
Que ton appréhension est vaine,
Qu'il me faut juste vivre mes passions.
Car nous avons su bâtir tous les deux,
Un petit monde merveilleux, où nous vivons heureux.
Laisse-moi simplement ouvrir les portes,
Pour partager avec les autres
Tout ce que tu voudrais cacher,
Pour que notre amour puisse subsister.
Vous pouvez donc chanter mon poème en le lisant, et si vous ne vous souvenez plus de la musique, vous pouvez toujours revoir mon article d'hier, et écouter la chanson originale...

L'amour en sursis.
Puisque tu dis que c'est fini nous deux,
Que notre amour s'est essoufflé, avec le temps qui passe,
Que tu ne peux plus supporter ce doute,
Moi je te dis que notre amour
A peut-être perdu de ses atours,
Mais que rien est fini entre nous deux.
Depuis que nous suivons la même route,
Tu dis que les souvenirs meurent, que le temps les efface.
Tu sembles avoir oublié nos serments.
Moi je te répond que le temps
A peut-être émoussé nos jeux,
Mais que nos souvenirs sont très heureux.
Même si tu ressens l'incertitude,
Et que tu penses que notre amour n'est plus qu'une habitude,
Pourquoi douter de ma sincérité?
Je veux quand même te rappeler
Que nous avions fait le serment
De nous aimer jusqu'à la fin des temps.
Maintenant que les enfants sont partis,
Et que j'occupe mes journées pour égayer ma vie,
Tu me reproches mes centres d'intérêts,
J'aimerais quand même te dire
Que tout ce que j'ai pu bâtir,
C'est grâce à toi que j'y suis arrivée.
Pour toi, tout doit être noir ou bien blanc,
Tu ne comprends pas tous les gris que j'ai vus dans le vent.
Mes passions, tu n'veux pas les partager,
Pourtant j'aimerais tant t'offrir
Toutes ces choses qui m'attirent,
Et qui m'aident à continuer.
Tu dis que mon amour n'est plus sincère,
Que mon élan pour toi s'estompe, que ça te rend amer,
Tu me reproches mon manque d'attentions,
Mais il faut bien que tu comprennes
Que ton appréhension est vaine,
Qu'il me faut juste vivre mes passions.
Car nous avons su bâtir tous les deux,
Un petit monde merveilleux, où nous vivons heureux.
Laisse-moi simplement ouvrir les portes,
Pour partager avec les autres
Tout ce que tu voudrais cacher,
Pour que notre amour puisse subsister.