29 octobre 2007
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15:00
Papa absent, papa
manquant,
Sacré farceur, tu nous manques tant.
Pourquoi es-tu parti si vite
Sans nous dire où tu t'enfuyais ?
Tu as oublié dans ta fuite
D'emporter quelques mots croisés.
Si seulement tu m'avais dit
Que bientôt tu serais parti,
Je t'aurais mis dans ta valise
Quelques caresses et des bises
Pour que ta route soie fleurie,
Tes outils, un coin de jardin
et puis le soleil du matin
Pour qu'elle t'emmène au Paradis.
Je t'aurais dit aussi ces mots
Qui me pèsent tant maintenant,
Je t'aurais dit ces simples mots:
Papa je t'aime, je t'aime tant
.
Mais maintenant il sont bloqués
Au fond de ma gorge serrée.
Tu as laissé un grand vide et
Tu sais que tu vas nous manquer.
Le temps doit te sembler bien long
Là où tu restes maintenant.
Mais tu as de l'occupation
Si tu veilles sur tes enfants,
Sans oublier les plus petits
Qui penseront à leur papy
En regardant sur les photos
Le monsieur qui partit trop tôt.
Et moi je penserais à toi
Mon bon et courageux papa.
Sans doute, attends-tu maman
Pour qu'elle te suive maintenant,
Mais tu devras être patient,
Car vois-tu, nous, tous tes enfants,
Nous refusons que son départ
Soit aussi rapide que ça.
Elle partira beaucoup plus tard.
Mais ne nous en veux pas pour ça.
Si le Bon Dieu veut bien nous plaire,
Il entendra notre prière,
Et comprendra notre égoïsme,
En la gardant auprès de nous.
Toi aussi, papa, comprend-nous.
Il faut pardonner mon lyrisme
Car ton départ remplit mon coeur
Mélancolique, de langueur.
Et moi je pense toujours à toi,
Mon bon et courageux papa.
Sacré farceur, tu nous manques tant.

Pourquoi es-tu parti si vite
Sans nous dire où tu t'enfuyais ?
Tu as oublié dans ta fuite
D'emporter quelques mots croisés.
Si seulement tu m'avais dit
Que bientôt tu serais parti,
Je t'aurais mis dans ta valise
Quelques caresses et des bises
Pour que ta route soie fleurie,
Tes outils, un coin de jardin
et puis le soleil du matin
Pour qu'elle t'emmène au Paradis.
Je t'aurais dit aussi ces mots
Qui me pèsent tant maintenant,
Je t'aurais dit ces simples mots:
Papa je t'aime, je t'aime tant

Mais maintenant il sont bloqués
Au fond de ma gorge serrée.
Tu as laissé un grand vide et
Tu sais que tu vas nous manquer.
Le temps doit te sembler bien long
Là où tu restes maintenant.
Mais tu as de l'occupation
Si tu veilles sur tes enfants,
Sans oublier les plus petits
Qui penseront à leur papy
En regardant sur les photos

Le monsieur qui partit trop tôt.
Et moi je penserais à toi
Mon bon et courageux papa.
Sans doute, attends-tu maman
Pour qu'elle te suive maintenant,
Mais tu devras être patient,
Car vois-tu, nous, tous tes enfants,
Nous refusons que son départ
Soit aussi rapide que ça.
Elle partira beaucoup plus tard.
Mais ne nous en veux pas pour ça.
Si le Bon Dieu veut bien nous plaire,

Il entendra notre prière,
Et comprendra notre égoïsme,
En la gardant auprès de nous.
Toi aussi, papa, comprend-nous.
Il faut pardonner mon lyrisme
Car ton départ remplit mon coeur
Mélancolique, de langueur.
Et moi je pense toujours à toi,
Mon bon et courageux papa.